Levé puis rendormi. Très fatigué.
Messe des cendres tant attendue depuis mon départ difficile. Trop de mollesse.
À coté de ça j’ai chaud, je suis fatigué, j’ai la tête qui tourne. Je vais un peu mieux que dans la matinée. J’ai des courbatures inhabituelles me rappelant la fièvre jaune.
Je me rendors dans l’après midi.
Au final j’aurais dormi la nuit, le matin avant la messe, l’après midi trois heures de plus.
Première fois que j’utilise la clim. Salutaire.
Je suis quand même passé à la gym pour dire que j’avais besoin de repos. Poker face respectueuse de la part du head-coach.
Impossible de savoir ce que j’ai pour le moment mais je vais faire de mon mieux pour.. pour quoi ? Pour guérir ?
Reste à savoir ce qui bloque lorsqu’il s’agit de prendre soin de moi et de prendre mes responsabilités face à mon… j’allais dire mon supérieur mais même pas. J’ai l’impression de ne pas faire de mon mieux et que mon coach va m’en vouloir, voir même mon hôte !
Je suis là à donner et je culpabilise d’être malade. Ou plutôt, de ne pas aller m’entraîner en étant malade.
Je ne sais pas. Peut-être l’écart entre ce que je m’imaginais être et ce que je suis ? Entre ce que j’attendais de quelque chose et la réalité ?
Les actes comptent. La discipline enseigne et fait progresser.
L’imagination elle ne peut que conjecturer.
C’est peut être ça.
Au final je peux être fier de moi jusqu’ici. Dans une certaine mesure. Il y a des petits progrès et un bel effort !
Et cette régularité aide à voir les dits progrès, les hauts, les bas et dans des conditions pas forcément optimums qui plus est, mais dans un contexte laborieux.
Et maintenant ? Irais-je mieux demain ? Irais-je demain ?
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