J’ai encore pris un coup aux côtes pendant le sparring, là où m’avais envoyé son genou mon brave adversaire de mardi dernier.
C’est assez handicapant je dois dire.
Mon corps à peur.
Et moi j’ai mal.
Journal d'un aventurier de la barque
et autres chroniques des deux cités.
J’ai encore pris un coup aux côtes pendant le sparring, là où m’avais envoyé son genou mon brave adversaire de mardi dernier.
C’est assez handicapant je dois dire.
Mon corps à peur.
Et moi j’ai mal.
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